Riddle of Fire ☆☆☆☆

Hazel, son petit frère Jodie et leur amie Alice sont inséparables. Ils ont ensemble pénétré par effraction dans un entrepôt pour y dérober, au nez et à la barbe de son gardien, un jeu vidéo. Mais l’accès à l’écran familial est bloqué par un code parental. Pour l’obtenir, ils doivent cuisiner une tarte à la myrtille. Figure au nombre des ingrédients un indispensable œuf tacheté. Pour le trouver, nos jeunes héros doivent se colleter avec une bande de braconniers dont la cheffe est une sorcière aux pouvoirs inquiétants. Sa fille rejoindra bientôt leurs rangs.

C’est en voyant arriver au cinéma des parents, un rehausseur sous le bras, accompagnés de leur – bruyante – progéniture que je me suis demandé si je ne m’étais pas trompé de salle. Pourtant, la bande annonce et le résumé du film auraient dû me mettre la puce à l’oreille. Que Riddle of Fire ait été tourné en pellicule argentique Kodak ne suffit pas à lui conférer un côté arty.

Il s’agit ni plus ni moins d’un film pour enfants, mettant en scène, façon Les Goonies ou Home Alone, des gamins pleins de ressources et des méchants bas du front. Passé douze ans, on voit mal quel intérêt on pourrait y trouver.

La bande-annonce

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