
Zoé a vingt-et-un ans, un copain photographe, une licence en poche et des rêves plein la tête. Mais son copain la trompe, le marché du travail est bouché, le logement à Paris hors de prix.
Avec ses nouveaux colocataires, Zoé décide de faire bouger les lignes.
La bande-annonce des Affamés m’avait mis l’eau à la bouche. J’en escomptais l’histoire pleine d’allant et d’humour d’une bande d’amis unis autour de Louane Emera (la révélation de La Famille Bélier) dans un combat politique, celui d’une jeunesse prenant conscience de son identité de classe et bien décidée à changer son statut dans la société.
Las ! Les comptes n’y sont pas. Sur le terrain de la comédie comme sur celui du militantisme, là où par exemple Problemos réussissait à faire coup double, Les Affamés nous laissent sur notre faim.
Les Affamés est d’abord l’histoire d’une atterrante platitude d’une bande de potes. On se souvient avec quel brio, quelle tendresse et quelle intelligence, Cédric Klapisch avait réussi sur cette base à croquer le portrait-chorale de la jeunesse des années 2000 dans L’Auberge espagnole – dont le succès allait provoquer deux suites dispensables, Les Poupées russes et Casse-tête chinois.
Louane Emera a une belle énergie. Mais elle n’a hélas ni le charisme ni le charme de Romain Duris. Sa romance avec François Deblock ne fonctionne pas. Ses autres colocataires sont réduits à des caricatures : le rebeu dragueur, le geek à lunettes, la renoi lesbienne (sic)…
Mais c’est surtout sur le terrain du combat politique que j’attendais Les Affamés. Au départ, Léa Frédeval avait écrit non pas une fiction mais un essai, témoignant de la rage d’une génération sacrifiée. Ce témoignage largement autobiographique frappait juste. Il décrivait une jeunesse sans illusions, touchée par un chômage de masse contre lequel aucun diplôme ne l’immunise plus, surexploitée dans des stages ou des CDD, constamment renvoyée par des aînés volontiers paternalistes à son inexpérience.
Le passage à la fiction ne fonctionne pas. Car une fois que les « affamés » prennent conscience de leur état et parviennent à articuler des revendications, plus rien ne se passe. Le film s’arrête, faute d’enjeu dramatique. La dernière demie-heure, privée d’enjeu, est un naufrage embarrassant.
Les Affamés n’a pas été projeté à la presse. On comprend pourquoi.
Dans la famille Graham, je demande la grand-mère Ellen. Pas de chance : elle vient de mourir. Sa fille Annie (Toni Collette) et son beau-fils Steve (Gabriel Byrne) ne semblent pas si affectés. On comprend que les dernières années d’Hélène, qui souffrait de schizophrénie et de démence sénile, n’ont pas été faciles. En revanche ses petits-enfants sont plus choqués : Peter qui tarde à sortir de l’adolescence et Charlie, la cadette, qui était la plus proche de sa grand-mère, qui vient d’y entrer.
En 2045, l’humanité se morfond dans des villes surpeuplées et polluées. Pour échapper au quotidien, les habitants se réfugient dans des mondes parallèles. L’Oasis est le plus populaire. L’inventeur de cette réalité virtuelle vient de mourir à la tête d’une immense fortune. Il propose de la céder à qui trouvera « l’œuf de Pâques » qu’il a caché dans un recoin du jeu.
Clarisse suit Marc, un chirurgien, à son domicile pour une nuit d’amour. Mais Marc l’endort, la ligote et s’apprête à pratiquer sur elle une greffe de visage. On comprend que Marc entend donner à la blonde Clarisse les traits de sa femme défunte, la brune Hélène.
Cinq garçons de bonne famille commettent une crime sauvage sur leur ancienne professeure. Ils passent en jugement. Ils sont remis à un capitaine louche qui promet de les redresser. Commence pour eux une longue odyssée vers une île mystérieuse.
C’est l’histoire d’un homme-poisson que des méchants ont emprisonné et que des gentils veulent libérer.
Reynolds Woodcock (Daniel Day-Lewis) est un immense couturier londonien qui ne vit que par son art. Sa sœur Cyril (Lesley Manville) veille jalousement à son bien-être et s’assure que rien ne le distraie de sa routine.
À Coney Island, la plage de New York, en juillet 1950 [je ne suis pas peu fier d’avoir retrouvé la date exacte], Ginny (Kate Winslet) vit dans l’amertume de la gloire qu’elle n’a pas conquise sur les planches. Hier actrice prometteuse, aujourd’hui serveuse exténuée, elle est mariée sans amour à Humpty (James Belushi) et s’est prise de passion pour Mickey (Justin Timberlake), un maître nageur plus jeune qu’elle avec qui elle a une liaison.
Le 21 août 2015, un terroriste surarmé a voulu assassiner les passagers du Thalys 9364 entre Bruxelles et Paris. Un carnage a été évité grâce à l’intervention héroïque de trois Américains en vacances en Europe.
Les forces du Mal commandées par l’infâme Snoke, secondé par Kylo Ren (Adam Driver), le propre fils de Han Solo, passé du côté obscur de la Force, sont sur le point d’anéantir l’armée de la Résistance de la princesse Leia (Carrie Fisher).