Joanna (Audrey Hepburn ) et Mark (Albert Finney) se sont rencontrés douze ans plus tôt lors d’un voyage sac à dos vers la Côte d’Azur. Ils se sont séduits, aimés, mariés et ont eu un enfant. Chaque année, ils reprennent le même chemin. Mais, comme d’ailleurs ils en avaient eu le pressentiment, leur couple subit de plein fouet l’usure du mariage. Se soldera-t-il par un inéluctable divorce ?
En 1954, Roberto Rossellini mettait en scène un couple d’Anglais au bord du divorce en vacances à Naples. Le ton de Voyage en Italie était grave voire tragique. La baie de Naples, filmée en noir et blanc, n’avait rien d’un décor de carte postale.
Sur le même sujet, Stanley Donen tourne douze ans plus tard un film tout différent. La fantaisie rafraîchissante des années soixante est passée par là, qui donne à la femme plus d’autonomie – même s’il reste beaucoup à faire et que la passivité souriante de Joanna face à la muflerie assumée de Mark en choquera plus d’un.e La présence de Stanley Donen derrière la caméra, l’auteur de quelques unes des comédies musicales les plus joyeuses de l’histoire du cinéma (Chantons sous la pluie, Drôle de frimousse), explique aussi le ton léger du film.
Voyage à deux est un film à regarder l’été, qui se déroule exclusivement durant cette saison vacancière à travers la France ou sur son littoral méditerranéen. Un montage compliqué mais toujours fluide joue à saute-mouton avec les époques, qu’on reconnaît grâce aux voitures de plus en plus coûteuses de Mark et aux toilettes de plus en plus sophistiquées de Joanna signées Paco Rabanne ou Mary Quant.
Voyage à deux vaut beaucoup par le jeu de ses acteurs. Dans les seconds rôles, on reconnaît quelques gloires passées du cinéma français : Claude Dauphin, Georges Descrières… On aperçoit Jacqueline Bisset dans l’un de ses tout premiers rôles dont la jeunesse et la beauté aimantent la pellicule. Mais surtout, Voyage à deux est un hymne à Audrey Hepburn – que Stanley Donen avait déjà dirigée dans Drôle de frimousse et dans Charade. À trente-sept ans, elle est au sommet de sa gloire. Sa silhouette gracile, ses yeux de biche, son sourire malicieux ont fait d’elle une star. Un an plus tard, elle décidait d’arrêter sa carrière pour se consacrer à l’aide humanitaire à l’enfance.
Avigail travaille dans un établissement gériatrique où elle dispense des soins attentionnés à des patients en fin de vie. Elle est mariée à Rashi et poursuit avec lui un traitement long et pénible pour avoir un enfant. Épuisé par cette attente infructueuse, le couple bat de l’aile.
Luc (Logann Antofuerno) vit dans le Nord avec son père (André Wilms) et veut marcher dans ses pas. Comme lui, qui est menuisier, Luc deviendra ébéniste et ambitionne d’intégrer la prestigieuse école Boulle.
Rie est journaliste. Elle réalise un reportage sur la construction d’une nouvelle ligne du métro de Copenhague. Alors qu’elle se trouve au fond d’un tunnel, un incendie se déclare qui la contraint à se réfugier de toute urgence dans un caisson hyperbare en compagnie de deux techniciens, Bahran et Ivo. la température augmente, l’oxygène se raréfie.
Menottes au poing, Alexis, seize ans, comparaît devant une éducatrice avant son jugement imminent. Quel crime a-t-il commis ?
Valérie et Stefan viennent de se marier. Sur le chemin de l’Angleterre où Stefan va présenter à sa famille sa jeune épouse, le couple s’arrête à Ostende dans un immense palace désert. Ils y sont rejoints par la mystérieuse comtesse Báthory (Delphine Seyrig) qu’accompagne son assistante Ilona.
Jonas est en apparence un jeune homme sans histoire. Il a une passion, la course à pied, une fiancée ravissante, Simone, et un travail dans les cuisines d’un grand restaurant bernois. Mais, en vérité, depuis la mort de son frère, Jonas va mal. Et son malaise tend à s’exprimer de plus en plus violemment.
La Grande Muraille verte est un projet panafricain de création d’un mur d’arbres traversant le Sahel d’est en ouest pour le protéger de la progression du désert.
Max Baumstein (Michel Piccoli), le président unanimement respecté d’une ONG humanitaire, assassine de sang froid l’ambassadeur du Paraguay en France auquel il demandait la libération d’une prisonnière politique. Comparaissant en cour d’assises, il explique les motifs de son crime. Cinquante ans plus tôt, dans la France des années trente, le jeune Max, dont le père avait été tué par les S.A. à Berlin, était élevé par Elsa Wiener (Romy Schneider), exilée loin de son mari emprisonné à Berlin.
Leigh a quatorze ans. Elle vit seule avec son père depuis le départ de sa mère. Elle n’a qu’une passion : la gymnastique qu’elle pratique intensément avec un coach qui croit en son potentiel. Tandis que s’approche une compétition importante pour laquelle Leigh s’entraîne d’arrache-pied, déboule chez elle un adolescent qui s’avère être son demi-frère. La jeune fille est fascinée par ce garçon plus vieux qu’elle et l’accompagne dans ses virées nocturnes qui prennent bientôt un tour dangereux.