La Niña de Fuego ★☆☆☆

La Niña de fuego nous arrive d’outre-Pyrénées précédé d’une réputation flatteuse. Pour Almodovar c’est la « révélation du siècle ». Pas moins !

Et il est vrai que cette Niña-là rappelle les derniers films du maître. Même ambiance glacée que dans La Piel que habito ; même scenario compliqué que dans Étreintes brisées.

Mais la comparaison s’arrête là hélas. Car ce qui marche si bien chez Almodovar ne fonctionne jamais chez Vermut. La froideur des personnages et des situations nous réfrigère sans nous glacer. La complexité du scenario – pour ne pas dire ses invraisemblances – nous égare sans nous stimuler.

Merci au bon Samaritain qui m’expliquera le dénouement auquel je n’ai rien compris !

La bande-annonce

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